A propos

Photographe portraitiste et retoucheuse en post-production visuelle, j’ai d’abord été chargée de communication pour des compagnies de danse contemporaine, puis je suis rentrée aux Gobelins – l’Ecole de l’image.

En studio j’ai trouvé ma marque de fabrique en m’inspirant des clairs-obscurs des peintres flamands. Je suis partie en quête de visages aux Puces de St Ouen. Ces rencontres (bikers, graphistes, touristes, serveuses, ferrailleurs…) seront déterminantes pour la suite de mon travail, l’art du portrait me parle. J’entame ma carrière de retoucheuse au Studio Daguerre à Paris. En parallèle de ce travail, je développe mon œil en photographiant des artistes et en préparant des expositions à Paris. J’ai l’occasion de photographier des femmes enceintes, c’est la révélation, je découvre  l’esthétique du corps féminin métamorphosé par la maternité.

Je deviens assistante de plateau pour Philippe Vermès, portraitiste de photographes à la chambre, puis je l’assiste pour former de jeunes étudiants américains au laboratoire noir et blanc. L’accès au laboratoire me permet d’expérimenter les sténopés, les cyanotypes et les tirages contacts de plaques de verre chinées en brocante.

En 2012, je quitte le tumulte parisien, je suis alors contactée pour travailler avec le Studio Harcourt en tant que retoucheuse puis responsable de la retouche, j’y resterais 9 ans. En 2013, je suis invitée au Salon des Beaux-Arts au Carrousel du Louvre, je remporte la médaille de bronze dans ma catégorie.

Renouveler le genre…

Désormais basée à Albi (Tarn), à proximité de Toulouse,  je me suis spécialisée dans la photo de portraits, de maternité, nourrissons et enfants mais avec un profond désir de dépoussiérer le style.

Mon travail s’inscrit dorénavant dans une recherche plasticienne et expérimentale autour de l’hybridation, mêlant l’art et l’artisanat, les gestes techniques manuels et la technique photographique contemporaine autour de l’identité et de la maternité.

Le visage ne ment jamais : c’est l’unique carte qui enregistre tous les territoires que nous avons habités

 Luis Sepulveda • Journal d’un tueur sentimental

Portrait par ©Studio Tintype & Ambrotype

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